Ce que l’on savait : persistance remarquable de l’anorexie mentale à travers l’histoire et chez un même patient. La restriction alimentaire est tenace et peut devenir très résistante.
Ce que l’on apprend : l’auteur passe en revue les avancées récentes en Neurosciences cognitives à ce sujet. La restriction alimentaire peut être comprise comme une « habitude » (habit) au sens de Graybiel. Bibliographie intéressante
Ce que ça change : confirmation du traitement le plus précoce possible avant que ces conduites soient engrammées et nécessité de méthodes thérapeutiques nouvelles.
Référence: Par B Timothy Walsh , Am.J.Psychiatry 2013 ; 170, n°5, 477-484.
Christine VINDREAU