Ce que l’on sait: Une altération des circuits neuronaux impliqués dans la récompense et la régulation alimentaire pourrait contribuer à la physiopathologie des troubles.
Ce que l’on apprend: Quand un sujet goute des aliments sucrés, l’activation cérébrale est diminuée chez des anciennes patientes anorexiques et augmentée chez des anciennes patientes boulimiques en comparaison à des témoins.
Ce que ça change : Ces modifications pourraient participer à l’expression des différents sous type de TCA et favoriser l’émergence du trouble, ouvrant la voie à des thérapies plus ciblées.
Référence: Oberndorfer TA, et al Altered Insula Response to Sweet Taste Processing After Recovery From Anorexia and Bulimia Nervosa. AM J Psychiatry 2013
En savoir plus : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23732817
Sébastien Guillaume Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.